• Cabinet
  • Bureaux
  • Carrières
  • Nouvelles
  • Étudiants
  • Anciens
  • Paiements
  • EN | FR
Background Image
Bennett Jones Logo
  • Équipe
  • Expertise
  • Ressources
  • Recherche
  • EN Menu
  • Recherche mobile
A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
Voir tout
Domaines de pratique
Droit des sociétés Litige Affaires réglementaires Droit fiscal Voir tout
Secteurs
Énergie Infrastructures Mines Capital-investissement et fonds de placement Voir tout
Services-conseils
Gestion des crises et des risques Politique publique
Consultez les mandats représentatifs
Expérience internationale
Perspectives Nouvelles Événements S’abonner
Angle d'arbitrage Perspectives liées à l’intelligence artificielle Balado « Business Law Talks » Actions collectives : Perspectives d’avenir Info-éclair sur les recours collectifs
Perspectives économiques Série sur la nouvelle économie de l’énergie Aperçus trimestriels des technologies financières Aperçu trimestriel sur les fusions et acquisitions L'ESG et le DSI
Équipe
Bureaux
Cabinet
Domaines de pratique
Secteurs
Enjeux Strategiques
Mandats représentatifs
Perspectives
Nouvelles
Événements
Carrières
Étudiants
Anciens
Paiements
Recherche
S’abonner

Restez au fait des dernières nouvelles et de nos événements dans le domaine des affaires et du droit.

LinkedIn LinkedIn Twitter Twitter Vimeo Vimeo
 
Blogue

La Cour suprême réexamine les éléments fondamentaux des recours collectifs antitrust

11 juin 2018

Écrit par John F. Rook, Q.C., Emrys Davis, and Christiaan A. Jordaan

Les recours collectifs antitrust ont proliféré au Canada à la suite de la « trilogie » de décisions de la Cour suprême en 2013 en matière de droit de la concurrence, intitulée <a href="https://www.canlii.org/en/ca/scc/doc/2013/2013scc57/2013scc57.html?autocompleteStr=%202013%20SCC%2057&autocompletePos=1 » target="_blank">Pro-Sys Consultants Ltd. c. Microsoft Corp. Ces décisions ont conclu que les « acheteurs indirects » de marchandises à prix fixe ont une cause d’action en vertu de l’article 36 de la Loi sur la concurrence fédérale, mais elles ont laissé un certain nombre de questions de suivi qui n’ont pas été clairement tranchées ou qui n’ont pas été abordées.

La Cour suprême du Canada entendra bientôt une affaire qui pourrait régler certaines des controverses qui en découleront. Le 7 juin 2018, la Cour suprême a accordé l’autorisation d’interjeter appel de la décision de la Cour d’appel de la Colombie-Britannique dans l’affaire Godfrey v. Sony Corporation. Les questions soulevées dans l’appel subsé qui suit comprendront :

  • Quelle est la nature du préjudice qui doit être subi par les acheteurs indirects pour permettre leur recouvrement en tant que catégorie?
  • L’existence d’une cause d’action prévue par la loi à l’article 36 de la Loi sur la concurrence pour les personnes lésées par un comportement anticoncurrentiel empêche-t-elle les réclamations de common law qui se chevauchent et sont incompatibles?
  • La responsabilité en vertu de l’article 36 s’étend-elle aux conséquences d’une conduite prohibée, aussi éloignée soit-elle?

La première question est au cœur même des recours collectifs: la procédure accorde-t-elle au groupe une identité juridique distincte de celle des membres individuels du groupe? Malgré l’opinion acceptée selon laquelle la législation sur les recours collectifs est simplement procédurale, les tribunaux inférieurs ont interprété des déclarations spécifiques dans Pro-Sys au sujet des acheteurs indirects pour leur permettre de prouver leur cas en se fondant sur le préjudice causé au groupe dans son ensemble, plutôt que sur le préjudice causé à ses membres individuels. Par conséquent, un groupe d’acheteurs indirects est actuellement autorisé à établir la responsabilité et à procéder directement à des dommages-intérêts globaux pour l’ensemble du groupe sur la preuve qu’un seul acheteur indirect a subi un préjudice.

La deuxième question porte sur le conflit entre le recours en dommages-intérêts civils prévu à l’article 36 et le délit de complot en matière de moyens illégaux. À ce jour, les tribunaux inférieurs ont permis que les deux réclamations soient traitées simultanément malgré plusieurs incohérences dans la portée de la réparation qu’elles offrent. Pourtant, la justification invoquée pour permettre le chevauchement est discutable : on a supposé à tort qu’il existait en common law avant que le Parlement n’édicte le recours prévu par la loi, qui autrement occuperait le domaine.

La troisième question porte sur la question de savoir si les demandeurs qui n’ont aucun lien avec un défendeur peuvent se faire une action en recouvrement pour le préjudice économique subi uniquement en raison des effets sur le marché. Les demandeurs concernés dans l’affaire faisant l’objet de l’appel sont ce qu’on appelle des « acheteurs parapluie », qui ont acheté un produit d’un fabricant qui n’est pas soupçonné d’avoir été impliqué dans un complot de fixation des prix, mais qui prétendent que l’effet de l’offre et de la demande a également augmenté son prix. Les cours d’appel canadiennes sont actuellement divisées sur cette question, ce qui permet aux acheteurs parapluie de la Colombie-Britannique et du Québec de présenter des réclamations, alors que celles de l’Ontario ne le peuvent pas.

Les conseils de la Cour suprême sur ces questions seront les bienvenus. Une résolution des controverses laissées indécises par la trilogie de 2013 engagera des principes qui sont non seulement fondamentaux pour les affaires antitrust, mais qui sont également applicables de manière plus générale, y compris la philosophie sous-jacente des recours collectifs et le principe de la suprématie parlementaire.

L’appel devrait être entendu à la fin de 2018, avec une décision à suivre en 2019.

Traduction alimentée par l’IA.

Veuillez noter que cette publication présente un aperçu des tendances juridiques notables et des mises à jour connexes. Elle est fournie à titre informatif seulement et ne saurait remplacer un conseil juridique personnalisé. Si vous avez besoin de conseils adaptés à votre propre situation, veuillez communiquer avec l’un des auteurs pour savoir comment nous pouvons vous aider à gérer vos besoins juridiques.

Pour obtenir l’autorisation de republier la présente publication ou toute autre publication, veuillez communiquer avec Amrita Kochhar à kochhara@bennettjones.com.

Télécharger le PDF

Auteur(e)

  • Emrys  Davis Emrys Davis, Associé

Liens connexes

  • Perspectives
  • Nouvelles
  • S’abonner

Articles récents

Blogue

Le gouvernement de la Colombie-Britannique simplifie [...]

09 mai 2025
       

Blogue

BBHIC 2025: Key Insights From Canada’s Leading Healthcare [...]

08 mai 2025
       

Blogue

Dépassement des règles de base : Projet de refonte [...]

08 mai 2025
       

Blogue

Le gouvernement de l’Alberta propose des changements [...]

06 mai 2025
       

Blogue

Qu’est-ce que le rebond du PAPE de la SAVS signifie [...]

05 mai 2025
       
Bennett Jones Centennial Footer
Bennett Jones Centennial Footer
Cabinet
  • Direction
  • Diversité
  • Communauté
  • Innovation
  • Sécurité
Bureaux
  • Calgary
  • Edmonton
  • Montréal
  • Ottawa
  • Toronto
  • Vancouver
  • New York
Se connecter
  • Perspectives
  • Nouvelles
  • Événements
  • Carrières
  • Étudiants
  • Anciens
S’abonner

Restez au fait des dernières nouvelles et de nos événements dans le domaine des affaires et du droit.

LinkedIn LinkedIn Twitter Twitter Vimeo Vimeo
© Bennett Jones S.E.N.C.R.L., s.r.l. 2025. Tous droits réservés. Traduction alimentée par l’IA
  • Politique de confidentialité
  • Avis de non-responsabilité
  • Conditions d’utilisation
Logo Bennett Jones