Écrit par Ashley White, Chelsea Tolppanen, Keely Cameron and Shawn Munro
L’Organisme de réglementation de l’énergie de l’Alberta a présenté le manuel XXX : Gestion de la contamination proposé le 7 juillet 2021. Ce manuel vise à aider les entreprises à comprendre les exigences et les attentes en vertu du Règlement sur l’assainissement en matière d’assainissement de la contamination. La gestion de la contamination exige qu’une entreprise prenne des mesures pour s’assurer que la contamination ne cause pas ou ne crée pas d’autres effets indésirables. La gestion de la contamination comprend l’élaboration d’une stratégie pour remédier à la contamination, ce qui signifie réduire, enlever ou détruire des substances dans le sol, l’eau ou les eaux souterraines par l’application de processus physiques, chimiques ou biologiques.
Ces lignes directrices arrivent à un moment où, dans le but de s’assurer que les entreprises s’accomitent à leurs obligations environnementales, l’Alberta Energy Regulator (AER) a indiqué qu’à partir de 2022, elle fixera des objectifs de dépenses de fermeture obligatoires à l’échelle de l’industrie ainsi que des objectifs de dépenses annuelles obligatoires individuels pour les titulaires de permis pétroliers et gaziers associés à des infrastructures inactives. Ces objectifs de dépenses obligeront les sociétés pétrolières et gazières à dépenser un montant minimum pour la fermeture. Les fonds dépensés sur les sites actifs ne sont pas inclus.
Une stratégie de gestion de la contamination qui pourrait bénéficier de ces changements est l’utilisation de technologies in situ telles que la biorestauration (utilise des bactéries pour dégrader les hydrocarbures) et la phytorestauration (utilise les plantes pour assainir). La technologie in situ fait référence aux techniques qui assainissent le matériel en place. Contrairement aux méthodes traditionnelles de creusement et de déversement, l’assainissement in situ prend plus de temps pour assainir un site (de deux à cinq ans), mais ils ne constituent souvent qu’une fraction du coût associé aux méthodes ex situ. En raison de la tendance à se concentrer sur les montants des dépenses plutôt que sur les cotes de gestion du passif, il y a des avantages accrus associés à l’utilisation d’une approche à moindre coût qui peut entraîner l’assainissement d’un plus grand nombre de sites.
Si l’on envisage l’utilisation de techniques in situ, il est important de comprendre si d’autres approbations ou exigences réglementaires s’appliquent. Par exemple, dans certaines circonstances où des cellules biologiques et des cellules biologiques sont utilisées, un permis peut être requis en vertu de la Directive 058 de l’AER : Exigences relatives à la gestion des déchets des champs pétrolifères pour l’industrie pétrolière en amont.
Bennett Jones Energy and Les groupes de réglementation de l’énergie ont de l’expérience en aidant les entreprises tout au long du cycle de vie réglementaire complet et peuvent aider à préparer un plan d’assainissement et à obtenir les approbations nécessaires.
Traduction alimentée par l’IA.
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