Écrit par Milos Barutciski
Le ministre de l’Industrie du Canada, l’honorable Jim Prentice, a a fourni de nouvelles directives concernant l’instruction que le gouvernement du Canada prend en compte en ce qui concerne : l’examen de l’investissement étranger en général, et les acquisitions; par des entreprises d’État étrangères en particulier. Dans un discours devant la Chambre de commerce de Vancouver le 9 octobre; En 2007, le ministre Prentice a signalé que le la réponse à la vague perçue d’étrangers très en vue les acquisitions d’entreprises canadiennes seront limitées; bien que de nouvelles restrictions soient susceptibles d’être adoptées en ce qui concerne les acquisitions par des entreprises d’État et les acquisitions qui soulèvent des préoccupations en matière de sécurité nationale. L' le gouvernement ne semble pas envisager un commerce de gros la refonte de la Loi sur Investissement Canada (LIC) ou même un resserrement important de la politique d’investissement.
Historique
Un certain nombre d’acquisitions étrangères très médiatisées de les entreprises des secteurs de l’exploitation minière, de la vente au détail, de l’acier, de l’hôtellerie et de l’accueil; d’autres secteurs au cours des deux dernières années ont donné lieu à des appels en faveur d’un une politique d’investissement étranger plus restrictive, y compris un la révision de l’ICA. En novembre 2006, le gouvernement a publié sa politique économique Avantage Canada appelant à un examen général de l’ICA. L' soulevait une préoccupation particulière à l’égard des acquisitions de Entreprises canadiennes par des entreprises d’État étrangères « avec des objectifs non commerciaux et une gouvernance peu claire et l’établissement de rapports », notant que de telles acquisitions pourraient ne pas l’être « bénéfique pour les Canadiens ». Le gouvernement a par la suite a mis sur pied un groupe d’éminents Canadiens en septembre 2007 avec le mandat d’examiner la LIC et l' Loi sur la concurrence et rapport en juin 2008.
Acquisitions par des entreprises d’État
Allocution du ministre Prentice devant le conseil d’administration de Vancouver Le commerce fournit des renseignements importants sur le les plans. Tout en reconnaissant que l’examen du comité est en cours, le ministre a approuvé l’ICA comme « fonctionne bien » et a confirmé que le gouvernement continuera de le faire appliquer le critère existant en vertu de la LSA selon lequel une acquisition doit présenter un « avantage net pour le Canada ». Ce soutien exprès suggère fortement qu’il est peu probable que le gouvernement : poursuivre une refonte majeure de l’ICA, ou pour mettre en œuvre un resserrement substantiel du processus d’examen des investissements et des restrictions plus sévères à l’investissement étranger en général. Il envoie également un signal fort au groupe d’experts de ne pas poursuivre un révision majeure de l’ICA, mais plutôt pour se concentrer sur plus problèmes de processus limités.
Le gouvernement agira probablement plus rapidement – à l’automne de 2007 – en ce qui concerne les lignes directrices pour les investissements par les entreprises d’État. Dans une déclaration ultérieure sur Le 15 octobre, le ministre Prentice a indiqué qu’il le ferait aimer voir les nouvelles règles de sécurité nationale mises en œuvre d’ici juin 2008. Le ministre n’a pas fourni d’autres précisions des directives concernant la question de la sécurité nationale, autres que de noter que plusieurs autres pays exercent un compétence pour bloquer les acquisitions étrangères sur les motifs de sécurité.
On dit que la préoccupation du gouvernement n’est pas à l’égard de l' la propriété de capitaux étrangers investis au Canada mais avec « comment ce capital se comporte sur le marché ». Le ministre Prentice a insisté sur l’intérêt du gouvernement en veillant à ce que les entreprises d’État « fonctionnent selon les mêmes normes que toute autre publicité les entreprises qui exercent des activités au Canada, y compris celles qui sont liées à l' la transparence, les bonnes pratiques de gouvernance et si elles fonctionnent selon les principes du marché libre. Le gouvernement envisagera d’adopter des lignes directrices pour les acquisitions en : les entreprises d’État cet automne.
Tout en suggérant un examen plus approfondi des investissements par les entreprises d’État , a précisé le ministre Prentice que « les entreprises d’État sont les bienvenues pour investir dans [Canada] » et qu’un certain nombre d’entreprises d’État fonctionnent déjà avec succès au Canada. Le gouvernement ne semble pas être intrinsèquement opposé à les investissements des entreprises d’État. Néanmoins, il envisage d’apporter des changements au processus d’examen pour tenir compte de la les risques perçus liés aux investisseurs d’État.
Les investisseurs d’État devraient s’attendre à une plus grande divulgation de leur structure de gouvernance. Le récent expérience de l’obtention de l’approbation pour le premier Canadien l’acquisition par une entreprise d’État à la suite de l' l’expression de préoccupation du gouvernement à l’avantage Déclaration du Canada, indique que les investisseurs peuvent s’attendre à être tenu de faire des divulgations concernant :
- la gestion des opérations quotidiennes;
- le rôle du conseil d’administration;
- la présence et le rôle d’administrateurs « indépendants »;
- les mécanismes dont dispose l’État propriétaire pour : influencer les décisions d’affaires de l’entreprise; et
- toute autre question qui pourrait être pertinente pour : déterminer si et dans quelle mesure l’entreprise est susceptible d’être géré sur une base commerciale.
Codes de conduite et procédures de conformité de l’entreprise sera également pertinent, de même que toute attestation de la troisième les parties telles que les organismes de réglementation, les agences de notation ou les investissements en ce qui concerne les pratiques de gouvernance de l' entreprise. Le gouvernement est également susceptible de chercher de l’information en ce qui concerne le dossier de l’entreprise en tant qu’étranger investisseur dans d’autres juridictions.
Les entreprises d’État, y compris les richesses souveraines les fonds, qui ne sont pas en mesure ou préparés à faire ce genre des divulgations peuvent s’attendre à un processus d’examen plus ardu et un plus grand risque qu’une transaction proposée ne le soit pas être approuvé. De plus, puisque les investisseurs sont de plus en plus nombreux s’attend à ce qu’il s’engage à prendre des engagements contraignants envers le ministre de prendre des mesures positives jugées bénéfiques pour Le Canada, comme condition d’obtention de l’approbation de l’ICA, l' les attentes du gouvernement en ce qui concerne le niveau de les entreprises seront probablement plus importantes lorsqu’une entreprise appartenant à l’État l’investisseur ne peut pas ou ne veut pas faire ce genre de les divulgations, ou lorsque ces divulgations suggèrent que l' l’entreprise n’est pas gérée sur une base commerciale.
On peut également s’attendre au moment de l’examen de l’investissement étranger d’être touché. L’ICA demande actuellement un Délai d’attente de 45 jours avant qu’une transaction révisable puisse être terminé. Le ministre peut prolonger l’attente initiale période unilatérale de 30 jours supplémentaires. Plus loin les prolongations ne peuvent être effectuées qu’avec le consentement de l’investisseur. Examens des transactions importantes et très médiatisées maintenant prennent régulièrement plus de temps que la période initiale de 45 jours. L' une nouvelle approche à l’égard des entreprises d’État peut être devrait exercer une pression supplémentaire sur les transactions impliquant de telles entités. Les planificateurs d’affaires devraient en tenir compte dans un délai suffisant pour permettre au gouvernement d’examiner la et vérifier l’information concernant la gouvernance des les entreprises d’État (qui ne sont normalement pas un problème dans les acquisitions par des parties privées) et aussi pour la négociation de tout autre engagement qui pourrait être nécessaire pour un tel les investisseurs.
Traduction alimentée par l’IA.
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