Wesley Novotny s’entretient avec Canadian Lawyer about Employee Ownership Trusts (EOT) et Bennett Jones travaille pour Grantbook, l’une des toutes premières entreprises canadiennes à être vendue à une EOT. La structure EOT permet aux employés de devenir les propriétaires indirects d’une entreprise admissible.
Wes commente dans l’article avec Peter Deitz, cofondateur de Grantbook, le processus et ce qui attend les EOT au Canada.
M. Wes affirme que pour que la vente à un EOT ait du sens, l’entreprise doit être de la bonne taille et avoir un flux de trésorerie solide et des valeurs alignées sur cette stratégie de sortie. « Vous devez avoir une direction habilitée et un groupe d’employés qui peuvent prendre en charge » la propriété de l’entreprise.
Bien que l’EOT de Grantbook soit le premier au Canada, Wes dit qu’il s’attend à d’autres transactions de ce genre à l’avenir. L’une des raisons importantes est la nouvelle déduction fiscale sur les gains en capital d’une valeur de 10 millions de dollars pour les vendeurs qui vendent la propriété à un EOT.
La déduction ne tient toutefois que jusqu’en 2026, et la planification de la relève prend des années. « Il y a un grand élan pour que cet incitatif soit repoussé pour qu’il soit indéfini au-delà de 2027 », dit Wes. « Je pense que nous avons besoin que cela se produise pour que cela devienne une boule de neige. »
De plus amples renseignements sur les règles et les avantages des EOT sont disponibles sur Bennett Jones. Le cabinet fournit des conseils sur les EOT et des questions connexes depuis la création du mouvement canadien des EOT.