Deux ans après avoir signé un traité bilatéral d’investissement (TBI) avec la Chine, le Canada l’a ratifié et a annoncé qu’il entrera en vigueur le 1er octobre. Le Canada a conclu des traités semblables, connus au pays sous le nom d’accords sur la promotion et la protection des investissements étrangers (AIPVP), avec plus de deux douzaines d’autres pays. La Chine a plus de 70 traités de ce type en vigueur. Néanmoins, la LAIPVP Canada-Chine a suscité une controverse particulière de ce côté-ci du Pacifique lorsqu’elle a été signée, à la fois parce qu’elle a été empêtrée dans un débat simultané sur les investissements de l’État chinois dans le secteur de l’énergie du Canada et en raison de craintes « exagérées » au sujet d’une caractéristique commune à la plupart des TD modernes, le mécanisme de règlement des différends entre investisseurs et États.
La LAIPVP Canada-Chine ne vise pas à ouvrir davantage le marché canadien aux investissements de la Chine, ou vice versa. En ce sens, il est moins ambitieux que les récentes AIPVP et les dispositions sur l’investissement dans les accords commerciaux que le Canada a conclus avec d’autres partenaires commerciaux. Toutefois, il offre des protections de fond et procédurales aux investisseurs de chaque Partie dans le but d’assurer un cadre juridique et réglementaire stable et prévisible pour leurs investissements. Cela devrait être particulièrement avantageux pour les investisseurs canadiens en Chine. De plus, par rapport à ce que la Chine a fourni en vertu de ses autres TDT jusqu’à maintenant, la LAIPVP Canada-Chine est à la fine pointe de la technologie; il offrira aux investisseurs canadiens des protections contre des préoccupations comme la discrimination, le traitement arbitraire et l’expropriation qui sont égales ou supérieures à celles offertes aux autres investisseurs étrangers en Chine.
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