Écrit par William S. Osler, James T. McClary, Usman M. Sheikh and James Bartlett
Le 19 septembre 2013, l' les ministres des Finances du Canada, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique ont annoncé un une entente de principe visant à créer un nouvel organisme de réglementation des valeurs mobilières par l’entremise d’un « système coopératif de réglementation des marchés de capitaux ».
Le système coopératif est ouvert à l’adhésion de toutes les provinces et de tous les territoires, et serait mis en œuvre d’ici le les administrations participantes qui adoptent des lois uniformes sur les valeurs mobilières régissant : les questions qui relèvent de leur compétence et l’adoption par le gouvernement fédéral; législation nationale complémentaire. L’organisme de réglementation aurait son siège social en Toronto, avec des bureaux régionaux dans les administrations participantes, et fonctionnerait en vertu des pouvoirs délégués par les administrations participantes.
L' l’annonce marque la première étape concrète vers des titres nationaux après la décision rendue par la Cour suprême du Canada en 2011 selon laquelle le projet de loi du gouvernement visant à créer un organisme national de réglementation des valeurs mobilières était inconstitutionnel. Le système coopératif proposé semble refléter l' La suggestion de la Cour suprême dans sa décision de 2011 selon laquelle les valeurs mobilières nationales la réglementation pourrait être réalisée par le « fédéralisme coopératif ».
Objet L’entente
du19 septembre stipule que l’objet de l' le système coopératif doit:
- favoriser plus efficace et à l’échelle mondiale des marchés de capitaux concurrentiels au Canada et faciliter la mobilisation de capitaux par l’entremise de des marchés plus intégrés et une réglementation nationale;
- fournir augmenté la protection des investisseurs;
- renforcer la capacité de gestion du Canada le risque systémique; et
- permettre au Canada de jouer un rôle plus influent dans les les initiatives de réglementation des marchés de capitaux internationaux.
Directeur principal Composantes
Les principales composantes du système sont les suivantes :
- des lois provinciales et territoriales uniformes complétées par des lois fédérales les lois portant sur les affaires criminelles, le risque systémique et les données nationales la collecte;
- un organisme unique de réglementation des marchés de capitaux composé d’un la division de la réglementation et un tribunal d’arbitrage, dirigés par un tribunal indépendant conseil d’administration représentatif des régions du Canada;
- un conseil des ministres responsables de la réglementation des marchés des capitaux en chaque province et territoire participant et y compris les Finances fédérales le ministre, qui superviserait l’organisme de réglementation et rendrait compte à : les gouvernements participants;
- les bureaux provinciaux dotés de personnel et d’expertise; et des ressources proportionnelles à l’activité du marché et aux demandes d’application de la loi dans les chaque administration participante, chacune offrant des services semblables à ceux offerts actuellement les organismes de réglementation provinciaux dans un cadre national;
- un vote qui permet à n’importe quelle juridiction sur les grands marchés financiers (définie comme un qui représente au moins 10 % du PIB national des services financiers; à l’heure actuelle, cela comprendrait l’Ontario, la Grande-Bretagne Colombie, Alberta et Québec si toutes les provinces ont participé) pour s’opposer à la réglementation proposée par l’organisme de réglementation, ou pour proposer une réglementation ou les modifications apportées aux lois provinciales, avec l’appui d’au moins 50 pourcentage de tous les membres du conseil des ministres;
- une structure tarifaire conçu pour permettre au nouvel organisme de réglementation d’être autofinancé sans imposer les coûts inutiles ou disproportionnés pour les participants au marché; et
- le financement transitoire pour les provinces et les territoires qui perdraient les recettes nettes dues au système coopératif.
Calendrier
L’objectif annoncé est d’avoir l’organisme de réglementation en place d’ici le Le 1er juillet 2015. Le calendrier proposé est le suivant:
- d’ici janvier En 2014, chaque administration participante signe un protocole d’entente pour : quel avant-projet de loi sera joint;
- d’ici mars 2014, initiale les projets de règlement sont publiés aux fins de commentaires;
- d’ici mai 2014, chaque l’administration participante signe une entente concernant l’intégration de l' son organisme de réglementation des valeurs mobilières dans le nouvel organisme de réglementation;
- d’ici décembre En 2014, des lois sont adoptées par chaque administration participante; et
- d’ici le 1er juillet 2015, le nouvel organisme de réglementation sera opérationnel.
Participation Le
ministre Flaherty a déclaré qu’il s’attendait à ce que d’autres les provinces et les territoires de se joindre au nouveau système assez rapidement. Cependant, il n’est pas clair quelles provinces et quels territoires, autres que l’Ontario et la Grande-Bretagne Columbia, adoptera le système proposé. Bien que bon nombre des éléments clés de l' la proposition répond à certaines questions soulevées par les provinces en avec le gouvernement fédéral, il semble que les provinces (autres que l’Ontario et la Colombie-Britannique) n’ont pas été consultés. Alberta et Le Québec, en particulier, a plaidé contre un organisme de réglementation national et en en faveur du développement continu du système de passeport actuel; à la suite de l’annonce du 19 septembre, le gouvernement du Québec a indiqué qu’il peut intenter une action en justice contre l’initiative. Provinces avec les petits marchés de capitaux pourraient être plus incités à adopter la coopérative système.
S’attendre à ce que certaines provinces ne se joignent pas à la nouvelle , l’entente de principe du 19 septembre stipule que le nouveau l’organisme de réglementation fera de son mieux pour négocier et mettre en œuvre une interface mécanisme avec chaque province non participante de sorte que la coopérative a effectivement une application nationale.
Traduction alimentée par l’IA.
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