John Weekes écrit dans
Brink sur les raisons pour lesquelles il est beaucoup trop pessimiste de croire que si l’ALENA disparaissait d’une manière ou d’une autre, ce serait un désastre. Plusieurs éléments mobiles sont en jeu qui devraient aider à atténuer l’incertitude qui entrave le climat d’investissement au Canada. De 1991 à 1994, John a été négociateur en chef du Canada pour l’ALENA.