Jessica Horwitz commente dans le Washington Post sur le fait que le gouvernement fédéral du Canada utilise de nouvelles règles de saisie et de confiscation d’actifs pour transférer l’énorme avion cargo Antonov-124 de Volga-Dnepr Airlines vers l’Ukraine. Cette décision est suivie de près par d’autres pays. Ottawa dit vouloir travailler avec Kiev pour utiliser l’avion afin d’indemniser les victimes de violations des droits de la personne, de rétablir la paix et la sécurité internationales ou de reconstruire l’Ukraine.
L’approche canadienne a toutefois soulevé des questions plus larges quant à l’objet des sanctions.
Les sanctions sont « comme une carotte », dit Jessica. « Si vous arrêtez de vous livrer à un mauvais comportement, les actifs seront dégelés. ... Le problème, potentiellement, avec la confiscation est que si ces actifs sont confisqués, l’incitation à changer de comportement n’existe plus.