TNM rapporte que peu de temps après la publication des nouvelles lignes directrices, trois entreprises chinoises ont reçu l’ordre de vendre leurs participations dans trois petites sociétés minières canadiennes.
Zee dit à TNM qu’il voit la nouvelle approche comme un changement de politique « important » et a déclaré qu’il n’y avait pas de précédent pour l’ordonnance de dessaisissement. « Avant ces dessaisissements ordonnés, il n’y avait pas eu de cas où un actif minéral essentiel avait fait l’objet d’une ordonnance de dessaisissement au Canada. » Zee a noté que la prise de contrôle proposée par Shandong Gold Mining de TMAC Resources en 2020 a été rejetée en raison de l’emplacement stratégique dans l’Arctique du projet Hope Bay de TMAC.
M. Sander affirme qu’avec la nouvelle politique du gouvernement canadien: « Il semble y avoir une catégorie d’investisseurs qui sont avertis que leur investissement pourrait ne pas être le bienvenu au Canada à ce stade. Je pense que la question que l’industrie doit avoir en tête est que si le gouvernement décide qu’il y a certains investisseurs que nous ne voulons pas, que fera-t-on pour encourager les investisseurs que nous voulons, car nous créons clairement un trou dans l’économie canadienne pour le développement de projets? »
« On a beaucoup mis l’accent sur la Chine en particulier dans cette politique, mais il s’agit d’une politique d’EE et il y a beaucoup d’entreprises d’État dans l’ensemble de l’économie mondiale de divers États, donc on devrait s’attendre à ce que cela ait des répercussions plus larges sur l’investissement étranger direct au Canada et dans les entreprises canadiennes. »
Le Canada trace une ligne sur les minéraux critiques, mais laisse des questions sans réponse est écrit par Alisha Hiyate.