Les développements rapides en psychiatrie, en neurosciences et en technologies de neuroimagerie émergentes mettent continuellement la pression sur la reconnaissance juridique de la maladie mentale et de la maladie mentale au-delà des frontières juridictionnelles. Néanmoins, la définition juridique canadienne de la maladie mentale disculpatoire dans le contexte de la responsabilité criminelle est demeurée en grande partie statique, à l’abri de l’influence immédiate de la théorie et des progrès médicaux. Afin de réfléchir efficacement à l’intersection de la santé mentale et des systèmes de justice pénale dans ce domaine, il est important de comprendre son évolution historique et les origines de la common law anglaise de l’approche actuelle. Publié dans l’International
Journal of Law and Psychiatry, volume 35, no 2.