Les logements locatifs bon marché et à court terme par l’intermédiaire d’entreprises comme Airbnb Inc. sont populaires pour les voyageurs et les propriétaires de condominiums, mais ils ne sont pas aussi attrayants pour les associations condominiales lorsqu’ils se produisent dans leurs complexes de condos. Les locataires à court terme ont moins de raisons d’être investis dans la sécurité, la sûreté et le confort des occupants résidant dans le complexe ou dans la sécurité de la propriété elle-même (voir l’article de CBC « Airbnb Nightmare Renters Leave Calgary Home Trashed »).
Bien qu’Airbnb et d’autres organismes de location à court terme similaires soient actuellement légaux dans toutes les provinces, leur avenir pourrait être très différent. Le Québec cherche à réglementer et à taxer cette entreprise, tout comme plusieurs villes des États-Unis. Les autres provinces canadiennes suivront probablement.
Si ce type d’entreprise devient réglementé, les hôtes peuvent être tenus d’obtenir divers permis ou de satisfaire à certaines normes en vertu des lois ou des règlements locaux. Les associations condominiales devraient examiner attentivement si cela les mettra ou non en violation de ces lois, si l’hôte ne respecte pas toutes les lois applicables.
L’inconvénient pour les sociétés condominiers
En Alberta, la Condominium Property Act et la Cour du Banc de la Reine n’appuient aucun règlement, règlement, politique ou règle qui tente de restreindre, d’empêcher ou de restreindre la capacité d’un propriétaire de partie privative de louer son logement. Le réexamen de la décision du tribunal a été autorisé. Si l’appel de cette décision est accueilli, les associations condominiales pourraient être autorisées à restreindre les droits de location des propriétaires de parties privatives.
Ce que les sociétés condominiants peuvent faire
Les tribunaux de l’Alberta ont confirmé les règlements administratifs qui restreignent l’utilisation par le propriétaire d’une partie privative de son logement ou des parties communes de l’immeuble ou des deux, comme les règlements administratifs qui limitent l’utilisation du logement par le propriétaire de l’unité à un « logement unifamiliaux ». Bien qu’il ne soit pas rare qu’un propriétaire partage son condo avec des amis, la Cour du Banc de la Reine de l’Alberta a statué qu’il y a une différence entre un propriétaire qui permet à quelques amis de rester dans l’unité et l’utilisation de l’unité comme club de villégiature, avec un certain nombre de familles différentes sur une base de rotation.
Les règlements administratifs de l’association condominiale peuvent également interdire à un propriétaire d’utiliser son logement ou l’aire commune pour une entreprise commerciale. Si le propriétaire de la partie privative fait de la publicité pour son logement en ligne et loue fréquemment à Airbnb ou à des entreprises similaires, cette activité peut être classée comme une activité commerciale. L’ABQB a soutenu que les clubs de villégiature, les activités de type hôtelier et les activités de type multipropriété dans l’unité ou les aires communes ou les deux sont, en substance, une entreprise commerciale et contreviendront à un tel règlement.
Les associations condominiales devraient appliquer le strict respect des règlements administratifs en incluant un règlement distinct qui exige le strict respect de tous les règlements administratifs et interdit la renonciation aux règlements administratifs par l’association condominiale pour s’assurer que ces règlements seront respectés. Le libellé de ces règlements administratifs et règles devrait être examiné attentivement et inclure les activités spécifiques qui seront interdites.
Airbnb et les entreprises similaires sont des développements récents qui n’ont pas encore été réglementés dans aucune province. Les associations condominiales qui souhaitent garder ce type d’activité de location hors de leur complexe peuvent envisager de réécrire leurs règlements administratifs, règlements, règles ou politiques d’une manière qui arrête effectivement cette activité.
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