Écrit par Emrys Davis
- Les demandeurs ne peuvent pas lier les réclamations non légales (comme les réclamations délictuelles et de restitution) aux violations de la Loi sur la concurrence. Lorsque la Loi sur la concurrence rend illégale une conduite, comme la fixation des prix, les demandeurs ne peuvent exercer des recours que pour cette conduite illégale en vertu de la cause d’action prévue par la Loi sur la concurrence. Ils ne peuvent pas non plus soutenir que ces actes illégaux ont trouvé des causes d’action pour des réclamations en responsabilité délictuelle parasitaires comme le complot de moyens illégaux, l’enrichissement sans cause et la renonciation à la responsabilité délictuelle.
- Un examen minimal de la preuve d’expert ne signifie pas qu’il n’y a pas d’examen. Les juges de certification peuvent plutôt examiner les éléments de preuve des experts des défendeurs et évaluer s’ils ont révélé des lacunes fatales dans la preuve d’expert du demandeur qui sont restées sans réponse. Mais tant que l’expert du demandeur répondra à ces critiques, les demandeurs satisferont probablement au critère du « fondement factuel » pour la similitude des questions fondées sur les pertes.
- Cette décision poursuit la tendance dans laquelle les tribunaux semblent déterminés à abaisser la barre de la certification, à éviter toute évaluation du fond à l’étape de la certification et à pousser les recours collectifs vers une décision sur le fond. Par conséquent, les réclamations ténues peuvent faire l’objet d’un plus grand nombre de requêtes en jugement sommaire dans la foulée de la certification.
Traduction alimentée par l’IA.
Veuillez noter que cette publication présente un aperçu des tendances juridiques notables et des mises à jour connexes. Elle est fournie à titre informatif seulement et ne saurait remplacer un conseil juridique personnalisé. Si vous avez besoin de conseils adaptés à votre propre situation, veuillez communiquer avec l’un des auteurs pour savoir comment nous pouvons vous aider à gérer vos besoins juridiques.
Pour obtenir l’autorisation de republier la présente publication ou toute autre publication, veuillez communiquer avec Amrita Kochhar à kochhara@bennettjones.com.