Un brevet est un ensemble de droits exclusifs accordés par un pays à un breveté pour une période de temps donnée. En échange, l' on s’attend à ce que le breveté fournisse une description complète de l' invention afin que d’autres puissent bénéficier de cette avancée en la technologie et les connaissances.
Le droit exclusif accordé à un breveté est le droit de empêcher ou exclure d’autres personnes de fabriquer, d’utiliser ou de vendre l’invention revendiquée. Comme tout droit de propriété, un brevet peuvent être vendus, autorisés, hypothéqués, cédés, transférés ou abandonné. Les droits conférés par un brevet s’étendent seulement dans l’ensemble du pays dans lequel il a été accordé. Par conséquent, un breveté doit demander des droits de brevet dans les d’autres pays séparément pour obtenir cette protection là-bas.
Alors que les lois sur les brevets au Canada et aux États-Unis sont similaires à bien des égards, il existe des différences fondamentales dont les candidats potentiels et d’autres devraient être au courant.
Droits à la délivrance d’un brevet
« Premier déposant » et « premier inventeur » sont des concepts de brevet qui déterminer en fin de compte qui a droit à l’octroi d’un brevet pour une invention. Le Canada fonctionne selon un système de brevets « premier déposant ». Cette signifie que, lorsque plus d’un inventeur a indépendamment a fait la même invention, un brevet sera accordé à la inventeur qui a été le premier à déposer la demande de brevet. Par conséquent, même si un inventeur peut prouver qu’il ou elle a été le premier à avoir conçu l’invention, cet inventeur ne serait pas autorisé à obtenir un brevet si un autre l’inventeur avait déposé une demande antérieure. C’est une course à la Office des brevets.
En revanche, les États Unis utilisent un « premier à inventer » système. Lorsqu’une invention est conçue pour la première fois par un inventeur et est diligemment réduit à la pratique (c.-à-d. en pratiquant l’un ou l’autre l’invention ou en déposant une demande de brevet), la date de l’invention sera la date de conception. Ainsi, le premier l’inventeur d’avoir conçu l’invention sera l’inventeur droit au brevet, même si un autre inventeur avait déposé un demande de brevet antérieure.
Propriété d’un brevet
Au Canada, à la fois une personne physique et une personne morale peut demander un brevet. Dans le cas où une entreprise est le demandeur, l’entité corporative deviendra l' propriétaire du brevet lorsque le brevet est délivré.
Aux États-Unis, seule une personne physique (c.-à-d. l’inventeur) peut demander un brevet. Lorsque le brevet est délivré, chaque personne inscrit comme inventeur sera propriétaire du brevet. Dans l’ordre pour une entreprise entité pour posséder le brevet, chaque inventeur doit céder leur les droits de propriété de l’entité corporative.
Examen
Pour qu’une demande de brevet soit délivrée au Canada ou à l' États-Unis, il doit d’abord être examiné par un examinateur de brevets qui est techniquement qualifié dans le domaine de la technologie pour auxquels l’invention se rapporte. Une fois que l’examen a été initié, l’examinateur effectuera une recherche de l’état de la technique, les brevets et la littérature non brevet pour déterminer si : l’invention est suffisamment différente des inventions antérieures et/ou les divulgations de l’état de la technique pour justifier l’octroi d’un nouveau brevet.
Au Canada, l’examen d’une demande de brevet commence ce n’est qu’après qu’une demande explicite d’examen a été déposé. Il est possible de maintenir une demande en attente de jusqu’à cinq ans à compter de la date de dépôt au Canada.
Aux États-Unis, une demande de brevet est admissible à l' examen automatique après la demande de brevet a a été déposé.
Période de grâce
Les Lois sur les brevets du Canada et des États-Unis prévoient ce qui suit : un délai de grâce d’un an qui peut précéder le dépôt d’un brevet dans ces pays. Ces délais de grâce peuvent permettre un inventeur la possibilité de vérifier la qualité marchande d’une invention avant d’avoir à investir toutes les ressources requis pour préparer et déposer une demande de brevet.
Au Canada, une demande de brevet ne doit plus être déposée plus d’un an à compter de la date à laquelle le demandeur (ou une personne) obtenir des connaissances directement ou indirectement du demandeur) rend d’abord l’invention accessible au public au Canada ou ailleurs.
Aux États-Unis, une demande doit être déposée dans les un an à compter de la date à laquelle l’invention a été brevetée ou décrit dans une publication imprimée n’importe où dans le monde ou dans l’année qui a dépassé la date à laquelle l’invention a été en l’usage public ou en vente aux États-Unis.
Par conséquent, le délai de grâce au Canada s’applique strictement aux divulgations dérivées du demandeur. En revanche, l' le délai de grâce aux États-Unis peut s’appliquer à tous les publics les divulgations, qu’elles soient obtenues par le demandeur ou non.
Exigences de divulgation
Aux États-Unis, un breveté est tenu de divulguer à l’Office des brevets tout l’état de la technique connu pour être important pour brevetabilité. Un breveté qui omet intentionnellement de le faire a commis une « fraude à l’égard du Bureau des brevets » ou s’est livré à des « conduite inéquitable », et le tribunal peut déclarer le brevet invalide ou inapplicable.
Au Canada, le breveté n’est pas tenu de volontairement : divulguer à l’Office des brevets tous les éléments importants connus de l’état de la technique. Par conséquent, un brevet canadien ne peut être invalidé le cette base.
Frais d’entretien
Les frais d’entretien sont des frais payés afin de maintenir l' statut actif d’un document de brevet.
Au Canada, les taxes de maintien en état pour l’une ou l’autre des demandes de brevet ou un brevet délivré est dû à chaque anniversaire du dépôt date, à compter du deuxième anniversaire. Le montant chaque année augmente pendant la durée du brevet ou du brevet l’application.
Les frais de maintien des brevets aux États-Unis sont dus trois et un an demi, sept ans et demi et onze ans et un six mois après la délivrance du brevet. Pas d’entretien les frais sont exigibles pendant qu’une demande est encore en instance.
Historique de la poursuite Estoppel
Au cours de la poursuite d’un brevet, un demandeur peut retirer ou restreindre certaines revendications afin que l' brevet approuvé par l’examinateur de brevets.
Aux États-Unis, la doctrine de l’histoire des poursuites (ou « dossier-wrapper ») estoppel, permet au tribunal d’utiliser la Historique des poursuites du Bureau des brevets pour limiter l’interprétation d’une réclamation. Toute modification apportée par le demandeur pour restreindre un afin de se conformer à la Loi sur les brevets, soulève la présomption que le territoire entre la revendication initiale et la revendication modifiée a été cédée. Par conséquent, le demandeur peut ne pas avoir de cause d’action pour contrefaçon à une revendication de brevet préalable à la modification.
En revanche, les antécédents de poursuite d’une demande de brevet ne peut pas être utilisé pour interpréter les revendications d’un Canadien brevet. Par conséquent, au Canada, la preuve tirée du brevet Les antécédents de poursuites du bureau doivent être exclus aux fins d’interpréter les revendications.
Exigence d’avis
Aux États-Unis, des dommages-intérêts pour contrefaçon de brevet peut ne pas être disponible si un avis approprié n’a pas été fourni. L’avis peut être l’un ou l’autre des « avis réels » par le breveté de l' l’existence du brevet, ou « avis implicite ». Constructif l’avis peut inclure le marquage ou l’étiquetage de l’article breveté ou appareil avec le mot « brevet » ou l’abréviation « pat. » ainsi que le numéro de brevet. Défaut de donner la notification peut entraîner la perte du droit à une indemnisation pour toute activité de contrefaçon entreprise par une personne avant cette personne a été avisée.
Le droit canadien des brevets n’est ni notifié ni marqué les exigences. Par conséquent, au Canada, des dommages-intérêts sont disponibles à partir de la première date de violation.
Procès devant jury
Aux États-Unis, les questions de fait étaient liées à l’atteinte et la validité peut être décidée par les jurys. Cependant, un procès devant jury pour une question de brevet n’est pas une option au Canada. Au Canada, toutes les affaires de brevets sont jugées par des juges seuls.
Conclusion
À mesure que de plus en plus d’entités canadiennes entrent sur le marché américain, un un nombre croissant d’entre eux cherchent à obtenir la protection par brevet à la fois à à la maison et aux États-Unis. Par conséquent, bien que l' les lois sur les brevets au Canada et aux États-Unis sont similaires à bien des égards, il existe des différences fondamentales cela devrait être pris en considération avant de déposer un brevet aux États-Unis.
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