Sabrina A. Bandali commente dans Exabord des enquêtes mondiales sur la façon dont un récent acquittement d’un ressortissant canadien accusé d’avoir soudoyé un agent public étranger a confirmé la norme minimale pour les condamnations en vertu de la législation antico corruption du pays.
En janvier, la Cour supérieure de justice de l’Ontario a déclaré Damodar Arapakota, l’ancien pdg de l’entreprise d’électronique Imex Systems, établie à Toronto, non coupable de corruption transnationale en vertu de la Loi sur la corruption d’agents publics étrangers du Canada.
Sabrina affirme que le fait que le juge ait décrivant le critère de la « contrepartie » dans ses raisonnements a fourni aux praticiens des conseils utiles sur les nuances de la législation canadienne sur la corruption transnationale que les jugements précédents n’avaient pas encore prises en compte. Elle a ajouté que l’analyse détaillée de la loi par le juge valide l’approche que les praticiens adoptent déjà pour conseiller leurs clients sur les questions liées à la corruption transnationale.