David Dodge, conseiller principal à notre bureau d’Ottawa, discute des changements proposés à la réforme des pensions. Un rapport commandé par le gouvernement de l’Ontario ( Aspects métacroéconomiques de l’épargne-retraite) et préparé par les conseillers de Bennett Jones David Dodge et Richard Dion a été rendu public le mercredi 23 avril 2014. Résumé du rapport :
La suffisance du revenu de retraite futur pour soutenir les niveaux de consommation cibles individuels des Ontariens et des Canadiens est un problème important pour les particuliers et les gouvernements. En effet, en moyenne, les travailleurs canadiens sont loin d’épargner suffisamment pour soutenir à la retraite un niveau de vie qu’ils trouveraient satisfaisant. À moins que l’économie ne génère une croissance de la productivité du travail plus élevée que ce qui est actuellement prévu, les gouvernements seront à l’avenir soumis à de fortes pressions pour taxer une population presque statique de travailleurs afin de soutenir les transferts à une population de personnes âgées en croissance très rapide.
Le grand défi est donc de savoir comment fournir un revenu de retraite adéquat à la future population de personnes âgées sans imposer un fardeau fiscal excessif à la population active et au secteur des affaires. Un tel fardeau accru ne pourrait qu’aggraver le problème de générer suffisamment de richesse tout en étant inéquitable pour les jeunes générations de travailleurs. La solution pour générer plus de revenus de retraite et de consommation potentielle à l’avenir est de commencer dès maintenant à épargner et à investir davantage. Un taux d’épargne plus élevé soutiendrait un revenu de retraite plus élevé sans augmentation des taux d’imposition sur la population active, directement par le biais d’un plus grand patrimoine accumulé des ménages et indirectement en soutenant un taux d’investissement plus élevé dans le capital physique et d’autres formes de capital, et donc une productivité plus élevée, un revenu de placement plus élevé et des revenus gouvernementaux accrus.
En principe, un taux d’investissement plus élevé pourrait être financé par une dépendance accrue à l’égard de l’épargne étrangère, mais l’expérience des dernières décennies tend à suggérer qu’à long terme, c’est l’épargne nationale qui finance l’investissement national dans les pays avancés. En outre, la forte dépendance à l’égard de l’épargne étrangère rend l’investissement national plus vulnérable aux chocs économiques et financiers à l’étranger. Un taux d’épargne plus élevé pour les ménages et les gouvernements est donc justifié à long terme pour soutenir un taux d’investissement plus élevé par les entreprises et les gouvernements.
Traduction alimentée par l’IA.
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