Les actifs les plus précieux d’une entreprise sont souvent ses des renseignements commerciaux et technologiques exclusifs et confidentiels. Les dirigeants et les propriétaires d’entreprises canadiennes comprennent qu’ils ne le peuvent pas ignorer le marché chinois s’ils souhaitent développer leur entreprise à l’échelle internationale. Cependant, ils peuvent, en même temps, être préoccupés par le vol de secrets commerciaux. Comme pour tout autre risque commercial, les entreprises canadiennes peuvent : gérer et réduire au minimum les risques de vol de secrets commerciaux en comprenant les cas applicables Lois chinoises et canadiennes, en prenant des mesures proactives pour protéger les biens de valeur les renseignements confidentiels et l’application énergique des droits qui ont été violé.
Les secrets commerciaux sont reconnus et protégés au Canada et
les secrets commerciaux de la Chine, également décrits comme des affaires confidentielles sont protégés au Canada et en Chine. La capacité d’appliquer la loi la protection des secrets commerciaux dans les deux pays est similaire. Cependant, il y a un différence importante dans les règles de procédure qui a une incidence importante sur les la poursuite des différends relatifs aux secrets commerciaux impliquant des parties chinoises : le l’absence d’un processus d’enquête préalable en vertu des règles de procédure civile chinoises. En pratique, cela signifie qu’il incombe au demandeur de percevoir la preuve de la contrefaçon avant l’introduction d’une action. Cette le fardeau de la preuve peut être très difficile et onéreux à décharger lorsque l' les produits contrefaits ne sont pas largement distribués.
Au Canada, les tribunaux avoir reconnu la valeur commerciale de renseignements commerciaux confidentiels et offrira des réparations à un demandeur qui peut établir que ses droits à l’information exclusive ont été violés et l’obligation de la confiance a été rompue. Pour constituer des secrets commerciaux admissibles à l' la protection de la common law, les renseignements doivent être confidentiels et originaux. De plus, les renseignements prétendument volés doivent avoir été acquis par l' propriétaire avec la dépense de temps et d’efforts, et être spécifique, identifiable et valeur commerciale. Enfin, le propriétaire des secrets commerciaux doit avoir a adopté des mesures judicieuses montrant une intention claire de maintenir l' la confidentialité des renseignements, et ont communiqué la l’information selon le besoin de savoir.
La Chine est un pays de droit civil en quels droits et obligations juridiques sont stipulés par les lois et les règlements. La protection légale des secrets commerciaux se trouve dans la Loi de 1993 sur la lutte contre la concurrence déloyale. En février 2007, le La Cour de Chine a publié une note explicative en vertu de la loi, qui offre des lignes directrices faisant autorité aux tribunaux chinois. La loi les critères relatifs aux secrets commerciaux en vertu de la Loi sont semblables aux facteurs établi par les tribunaux canadiens dans la protection des affaires confidentielles l’information.
Les critères législatifs qui qualifient les secrets commerciaux pour : la protection en vertu de la Loi est quadruple : (1) technologique et les renseignements sur l’entreprise; (2) inconnu du public et n’aurait pas pu l’être facilement acquis par d’autres sans trop d’effort; (3) valeur commerciale et pratique en ce qu’il fournirait un avantage concurrentiel au propriétaire, et (4) protégés par des mesures de confidentialité adoptées par le propriétaire.
Les mesures de confidentialité spécifiques sont essentielles
Confidentialité spécifique les mesures sont essentielles à la protection des secrets commerciaux dans les deux pays. Un la revendication générale de confidentialité sur les documents et les informations est insuffisant. Si un propriétaire de secrets commerciaux ne prend pas les mesures adéquates pour : protéger la confidentialité de l’information, il devra contrer le la défense que les renseignements ne sont pas en fait secrets et que, par conséquent, ils ne le sont pas exécutoire.
Les tribunaux chinois évalueront le caractère adéquat de la confidentialité en tenant compte d’un certain nombre de facteurs contextuels, notamment (1) le support qui transporte l’information contestée; 2° l’intention du propriétaire : maintenir la confidentialité; 3) si les mesures sont facilement identifiables; et (4) s’il est facile ou difficile pour d’autres d’obtenir la même chose l’information par des moyens légaux.
Selon la nature de l' et les secrets commerciaux, les entreprises canadiennes devraient envisager d’adopter les mesures de confidentialité suivantes lors de la vente de produits ou de services, que ce soit en Chine ou ailleurs :
- Mettre en œuvre un politique de communication pour s’assurer que les secrets commerciaux ne sont divulgués que si nécessaire;
- Ajouter des mesures de protection de la vie privée au moyen de transport du commerce secrets, par exemple l’ajout d’un mot de passe à des documents électroniques;
- Marquer le support portant les secrets commerciaux comme confidentiel;
- Signe les ententes de confidentialité, au besoin; et
- Restreindre le visiteur l’accès aux machines ou aux usines de fabrication qui comportent des secrets commerciaux.
Une affaire de secrets commerciaux poursuivie avec succès
Wang Xiaohui a travaillé comme ingénieur pour GE de 1999 à 2002. Il a été formé par GE en tant qu’ingénieur d’entretien pour l’entretien de l’équipement médical distribué par GE en Chine. En juillet 2002, Wang a démissionné de GE. En juillet 2003, il a enregistré une société sous le nom de Xi’an Jiuxiang Co. (X Co.) que a offert des services d’installation et d’entretien de l’équipement médical aux majors Hôpitaux chinois, en concurrence directe avec GE. Les manuels et la formation les documents utilisés par X Co. étaient semblables à ceux rédigés par GE.
GE a poursuivi X Co. et Wang, à titre personnel, alléguant qu’ils ont conjointement violé les droits de GE sur les secrets commerciaux en vertu de la Loi et les droits d’auteur attaché au matériel de formation. En fin de compte, le tribunal chinois a conclu dans l’affaire en faveur de GE et a émis une injonction permanente interdisant les défendeurs de la violation des secrets commerciaux de GE jusqu’à ce que le protégé l’information est rendue publique. Les dommages-intérêts accordés ont dépassé 1 million de dollars.
Dans le cas présent, GE a été en mesure de démontrer que tous les documents pertinents contenait des renseignements technologiques de base élaborés par l’entreprise en conséquence de ses propres activités de recherche et de développement, et elles étaient d’une importance économique importante valeur pour GE. De plus, GE avait pris un certain nombre de mesures pour maintenir l' la confidentialité de ces documents, y compris leur marquage comme protégés par le droit d’auteur et confidentiel. En outre, il y avait une disposition de confidentialité dans Wang contrat de travail avec GE. Toutes ces mesures ont eu une influence sur l' Décision finale du tribunal chinois dans cette affaire.
Résumé
C’est il est important pour les entreprises canadiennes d’évaluer leurs politiques et leurs pratiques pour les la protection des secrets commerciaux lorsqu’il s’agit du marché chinois. L' l’évaluation devrait être effectuée en vue des lois pertinentes des deux pays du Canada et la Chine, la nature des renseignements confidentiels et les catégories de les personnes qui peuvent avoir accès aux renseignements confidentiels. Le meilleur moment pour effectuer une telle évaluation est avant l’entrée sur le marché. La prochaine le meilleur moment pour le faire est maintenant.
Traduction alimentée par l’IA.
Veuillez noter que cette publication présente un aperçu des tendances juridiques notables et des mises à jour connexes. Elle est fournie à titre informatif seulement et ne saurait remplacer un conseil juridique personnalisé. Si vous avez besoin de conseils adaptés à votre propre situation, veuillez communiquer avec l’un des auteurs pour savoir comment nous pouvons vous aider à gérer vos besoins juridiques.
Pour obtenir l’autorisation de republier la présente publication ou toute autre publication, veuillez communiquer avec Amrita Kochhar à kochhara@bennettjones.com.