Écrit par Alexander Rozmus
En juin dernier, le gouvernement du Canada a annoncé prévoit mettre en œuvre des modifications législatives aux quatre lois principales qui régissent : les activités pétrolières et gazières dans les zones extracôtières de l’Atlantique et de l’Arctique : le Loi sur les hydrocarbures (LFH), le pétrole et le gaz du Canada Loi sur les opérations (LOPC), l’Atlantique Canada-Terre-Neuve La Loi de mise en œuvre de l’Accord et la zone extracôtière Canada-Nouvelle-Écosse Loi de mise en œuvre de l’Accord sur les hydrocarbures (aussi connue sous le nom de Lois d’accord). Les gouvernements fédéral et provincial de la Nouvelle-Écosse et Terre-Neuve-et-Labrador modifiera les règlements sur les hydrocarbures extracôtiers et l’exploration et les opérations gazières pour inclure:
- Augmentation de l’absolu le passif des entreprises opérant dans les zones extracôtières, qui est passée de 30 $ à 1 milliard de dollars millions;
- Permettre aux gouvernements de demander une compensation financière pour les dommages environnementaux causés par les exploitants responsables des déversements d’hydrocarbures;
- Exiger la diffusion publique de l’environnement et de la préparation aux situations d’urgence les plans;
- Fournir l’Office Canada-Nouvelle-Écosse des hydrocarbures extracôtiers et l’Office Canada-Terre-Neuve-et-Labrador des hydrocarbures extracôtiers (collectivement connu sous le nom d’Offices des hydrocarbures extracôtiers) ayant le pouvoir de percevoir des redevances administratives et des sanctions pécuniaires en cas de non-conformité aux lois, aux règlements ou aux ordonnances; et
- fournir aux offices des hydrocarbures extracôtiers les outils nécessaires pour mener à bien les évaluations environnementales en vertu de la Loi canadienne sur l’évaluation environnementale 2012.
Ces modifications font partie du plan du gouvernement pour : Le Développement responsable des ressources, qui vise à moderniser et à renforcer Les opérations canadiennes de sécurité pétrolière et gazière et assurer un transport fiable le infrastructures continentales et extracôtières. l’Office national de l’énergie; la loi correspondante sur l’Office national de l’énergie a déjà été modifiée avec des lois et des normes environnementales plus strictes pour assurer un à l’échelle nationale régime de sécurité des pipelines.
L’industrie pétrolière et gazière extracôtière de l’Atlantique du Canada est réglementée par les Offices des hydrocarbures extracôtiers, dont l’objectif est de s’assurer que : les exploitants et les entrepreneurs en forage se conforment à la loi et à la réglementation les exigences des lois de mise en œuvre. Responsabilité en cas de contravention à la Les lois d’accord reposent sur le principe du « pollueur-payeur ». Bien que n’est pas explicitement mentionné dans la loi, le principe du pollueur-payeur est implicitement reconnu comme la norme de seuil pour l’imposition d’une faute ou des actes répréhensibles lorsque des dommages environnementaux résultent de la négligence de l’exploitant. À l’heure actuelle, il existe une responsabilité illimitée en cas de faute des parties ou négligent en cas de déversement. De plus, il existe une responsabilité absolue sans égard à la responsabilité fixé à 30 millions de dollars pour l’Atlantique et à 40 millions de dollars pour l’Arctique. L’objectif, indépendamment de la faute ou de la négligence, est de s’assurer que les opérateurs ont alloué les ressources mises de côté pour les coûts de nettoyage et les dommages sans exiger de preuve de faute ou litige coûteux. Les besoins actuels en matière de capacité financière sont généralement nécessaires vont de 250 millions de dollars à 500 millions de dollars, dont 30 millions de dollars sont nécessaires en tant que pour travailler dans la zone extracôtière de l’Atlantique et 40 millions de dollars dans l’Arctique. Les dépôts sont détenus en fiducie par les Offshore Boards sous forme de lettre de crédit, garantie ou cautionnement, et servir de garantie que les promoteurs peuvent couvrir financière les responsabilités qui peuvent résulter d’un déversement.
Le gouvernement du Canada a a exprimé un engagement à assurer la responsabilité, et correspondant responsabilité, incombe aux exploitants de prendre toutes les mesures raisonnables pour nettoyer, assainir et traiter les dommages environnementaux en cas de déversement. Le régime de responsabilité à l’étranger du Canada exigera également une transparence accrue des exploitants dans le but d’assurer la clarté des opérations. Législation la modification doit être prévue comprend la LRPC, la COOC et l' Lois d’accord. Voici les points saillants des changements proposés :
- Le principe du « pollueur-payeur » sera explicitement enchâssé dans la loi dans le cadre de la Loi sur les accords et de la LOPC, formant la pierre angulaire du régime de responsabilité;
- Réitérant que la faute ou la négligence la responsabilité des opérateurs pour les dommages restera illimitée;
- Absolu le passif sans égard à la responsabilité sera porté à 1 milliard de dollars dans les deux régions de l’Atlantique au large et dans l’Arctique pour les exploitants, indépendamment de toute preuve de faute ou négligence;
- Preuve de capacité financière, sous la forme d’un opérateur , augmentera également considérablement à 1 milliard de dollars pour correspondre à l’absolu la responsabilité;
- Le pouvoir discrétionnaire du ministre peut être exercé pour réduire l' la limite de responsabilité absolue, la capacité financière ou le dépôt pour refléter un risque manifestement plus faible sur la recommandation des offices des hydrocarbures extracôtiers en le respect des promoteurs ayant des activités à plus petite échelle;
- Montants des dépôts sera porté à 100 millions de dollars pour les exploitants individuels ou à un fonds commun de 250 millions de dollars pour les exploitants qui mènent conjointement des activités extracôtières;
- Les fonds de dépôt seront accessibles aux organismes de réglementation, directement et sans entrave, pour mener des activités de nettoyage ou pour aider à l’indemnisation dans l’assainissement les efforts et les fonds dont les organismes de réglementation s’occupent doivent être reconstitués par les exploitants;
- Le procureur général du Canada ou un procureur provincial General pourra demander une indemnisation pour les dommages environnementaux qui en résultent d’un déversement, à savoir une réclamation pour dommages aux parcs nationaux, inhabité les rivages ou les espèces;
- Les offices des hydrocarbures extracôtiers feront des plans d’urgence, les plans de sécurité et les rapports de surveillance des effets sur l’environnement déposés par les exploitants accessible au public et facilement accessible pour consultation;
- Les Accords la Loi sera modifiée afin de créer une sanction administrative et pécuniaire régime permettant aux offices des hydrocarbures extracôtiers d’imposer des amendes aux exploitants qui : violer la législation, les décisions, les permis, les ordonnances, les licences ou les certificats les conditions visant à promouvoir la sécurité ou la protection de l’environnement; et
- les offices des hydrocarbures extracôtiers seront habilités à mener des évaluations environnementales en vertu de la Loi canadienne sur l’évaluation environnementale (2012), y compris : le pouvoir d’établir un programme d’aide financière aux participants et de mener Consultation des Autochtones.
Le gouvernement fédéral propose : travailler en étroite collaboration avec les gouvernements de la Nouvelle-Écosse et de Terre-Neuve-et-Labrador pour finaliser ces modifications législatives proposées au cours des prochains mois. Une fois les modifications sont finalisées et déclarées en vigueur par décret, opérateurs et les promoteurs qui mènent des activités d’exploration pétrolière et gazière, de forage exploratoire; les opérations de production dans les zones extracôtières de l’Atlantique et de l’Arctique devront s’ajuster les pratiques opérationnelles et les attentes opérationnelles coïncident avec, sans doute, un un environnement réglementaire plus strict axé sur une plus grande responsabilisation des exploitants en échange du droit d’utiliser les ressources naturelles publiques.
Traduction alimentée par l’IA.
Veuillez noter que cette publication présente un aperçu des tendances juridiques notables et des mises à jour connexes. Elle est fournie à titre informatif seulement et ne saurait remplacer un conseil juridique personnalisé. Si vous avez besoin de conseils adaptés à votre propre situation, veuillez communiquer avec l’un des auteurs pour savoir comment nous pouvons vous aider à gérer vos besoins juridiques.
Pour obtenir l’autorisation de republier la présente publication ou toute autre publication, veuillez communiquer avec Amrita Kochhar à kochhara@bennettjones.com.