Écrit par Don Greenfield, Will Osler, Vivek Warrier and Brad Eidsness
Le 27 septembre 2016, le gouvernement du Canada a approuvé l’installation de liquéfaction et d’exportation de gaz naturel de GNL Du Nord-Ouest du Pacifique Nord-Ouest, envoyant un signal fort indiquant qu’il est déterminé à accroître le rôle du Canada en tant que fournisseur mondial d’énergie.
L’installation, qui sera située sur l’île Lelu, près de Prince Rupert, sur la côte nord de la Colombie-Britannique, liquéfiera le gaz naturel produit dans la région de North Montney, en Colombie-Britannique, dans le cadre d’un projet intégré.
Il s’agit de la première décision prise par le gouvernement actuel à l’égard d’un grand projet énergétique depuis son entrée en fonction en novembre 2015. L’approbation du projet donne à penser que le gouvernement se concentre sur l’accroissement du commerce avec les pays de l’Asie-Pacifique et sur l’investissement étranger dans l’industrie canadienne de l’énergie.
L’approbation est assujettie à 190 conditions relatives aux effets sur l’environnement. Parmi celles-ci, il y a les conditions exigeant une consultation continue avec les groupes autochtones, le respect des normes d’émissions de gaz à effet de serre et de qualité de l’air et la surveillance de l’impact environnemental de l’installation sur les poissons d’eau douce et marins et les mammifères marins et leur habitat, les milieux humides, les oiseaux migrateurs et la santé humaine, ainsi que les conditions relatives à la construction et à l’exploitation de l’installation.
L’investissement total pour le projet de 40 ans, qui comprend l’installation de liquéfaction et d’exportation ainsi que les puits de gaz naturel et l’infrastructure de pipeline et de traitement connexes (y compris le projet de transport de gaz de Prince Rupert), est estimé à 36 milliards de dollars. Le projet fait l’objet d’un examen réglementaire rigoureux depuis 2013, tant au niveau fédéral que provincial.
Pacific NorthWest LNG est une coentreprise dirigée par la société d’État malaisienne Petronas. La coentreprise comprend également des partenaires du Japon, de la Chine, de l’Inde et du Brunéi. Petronas a récemment déclaré qu’elle devait procéder à un examen complet du projet proposé avant de le déposer auprès de ses partenaires pour une décision d’investissement finale. Si cette décision est positive, elle pourrait commencer à exporter du gaz naturel liquéfié en 2020 ou 2021.
Traduction alimentée par l’IA.
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