Au Canada, des millions de dollars sont perdus chaque année à la suite de stratagèmes frauduleux sophistiqués et bien planifiés. Ces « crimes en col blanc » font les gros titres; des histoires de gens ordinaires escroquant leurs employeurs ou d’autres personnes, et s’en fuite avec des millions de dollars avant d’être pris. Dans le passé, à mesure que ces histoires s’estompaient des manchettes, il en a été de même pour la perspective d’obtenir justice par le biais du processus de détermination de la peine au criminel. Étant donné que des personnes bien éduquées de bonne moralité commettent la plupart des fraudes majeures, le public, ainsi que le système juridique, ont eu du mal à considérer et à traiter ces personnes comme des criminels. Ces personnes bien éduquées, avec une vie familiale stable et de bonnes carrières, ne s’intègrent guère dans les notions préconçues traditionnelles de la société d’un criminel. Publié dans l’édition de l’automne 2007 de
Fraud Report,
le bulletin de l’Association des enquêteurs judiciaires agréés du Canada (ACFI).
Traduction alimentée par l’IA.
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