Eddie Goldenberg écrit dans le Globe and Mail sur les conséquences de l’adoption d’une modification constitutionnelle telle que proposée par le premier ministre du Québec, François Legault, déclarant que le Québec est une nation avec le français comme seule langue officielle.
Eddie écrit que « la mémoire institutionnelle est une condition préalable fondamentale à un bon gouvernement. Son absence entraîne presque inévitablement des conséquences malheureuses et parfois dangereuses. Pourtant, la mémoire institutionnelle, en particulier lorsqu’il s’agit de changements constitutionnels, fait cruellement défaut ces jours-ci à Ottawa, alors que le premier ministre et les chefs de l’opposition se disputent pour voir qui peut le mieux aider le premier ministre du Québec, François Legault, à faire passer son cheval de Troie aux portes de la Constitution canadienne.
Eddie a été fortement impliqué dans la période de débat constitutionnel et de changement dans les années 1980 qui a abouti au rapatriement de la Constitution, à une formule de modification, à l’adoption de la Charte des droits et au rejet des accords du lac Meech et de Charlottetown.
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