Dans la plupart des cas, l’avis de statut est traité presque comme une réflexion après coup par l’avocat: les demandeurs qui se sont assis sur leurs mains depuis le début de l’action réapparaîtront soudainement, demandant le consentement du défendeur à un calendrier agressif comme si ce consentement était garanti. De nombreux accusés, bien qu’ils se soient inquiétés de devoir dépoussiérer le dossier, accepteront néanmoins une certaine forme de calendrier, au grand dam de leurs clients qui s’attendaient à un rejet rapide de l’action. Bien que la jurisprudence qui existe dans le contexte de l’audience sur le statut ait tenté de fournir des indications concernant l’application de la règle 48.14, cette jurisprudence est relativement éparse et, parfois, incohérente. Cet article décrit l’approche la plus fondée sur des principes et la plus appuyée par jurisprudentiellement à adopter lors d’une audience sur le statut, y compris les facteurs pertinents à prendre en considération. Il examine également les moyens appropriés de contester le rejet d’une audience sur le statut, y compris la norme de contrôle appropriée, et les considérations de coûts qui sont pertinentes dans le contexte de l’audience sur le statut. « Rejeter ou ne pas rejeter : la loi sur les audiences sur le statut en Ontario » (201)
Adv. Q. 37:3 à 339.