Deux façons dont le Canada attirera de grands investisseurs étrangers en 2017Bill Morneau, ministre des Finances du Canada, a annoncé des modifications à la Loi sur Investissement Canada visant à attirer les investissements étrangers du secteur privé. Le ministre a exprimé les plans du gouvernement pour faciliter les choses pour les investisseurs étrangers de deux façons. Premièrement, à compter de 2017, le seuil pour déclencher un examen en vertu du soi-disant « critère de l’avantage net » dans la Loi sur Investissement Canada passera de 600 millions de dollars à 1 milliard de dollars. Cela répond à un engagement pris dans le cadre de l’OMC deux ans avant la date prévue. Le seuil est fondé sur la « valeur d’entreprise » de l’entreprise canadienne; des seuils moins élevés continueront de s’appliquer aux investissements dans des « entreprises culturelles » et aux investissements d’entreprises d’État et d’investisseurs non membres de l’OMC. Cette annonce fait suite à la signature de l’AECG. Dès l’entrée en vigueur, le seuil pour les investissements révisables sera de 1,5 milliard de dollars pour les entreprises non étatiques provenant de pays parties à l’AECG et à d’autres accords commerciaux internationaux. Deuxièmement, le gouvernement publiera des lignes directrices pour les examens en vertu des dispositions de la Loi sur Investissement Canada relatives à la sécurité nationale. L’objectif est de permettre aux entreprises étrangères de s’y retrouver plus facilement dans le processus d’examen de la sécurité nationale et, en particulier, de préciser quels investissements sont susceptibles de déclencher un examen en vertu des dispositions relatives à la sécurité nationale. Ces changements appuient l’initiative « Investir au Canada » du gouvernement canadien visant à attirer les investissements étrangers. Auteur(e)s
Traduction alimentée par l’IA. Veuillez noter que cette publication présente un aperçu des tendances juridiques notables et des mises à jour connexes. Elle est fournie à titre informatif seulement et ne saurait remplacer un conseil juridique personnalisé. Si vous avez besoin de conseils adaptés à votre propre situation, veuillez communiquer avec l’un des auteurs pour savoir comment nous pouvons vous aider à gérer vos besoins juridiques. Pour obtenir l’autorisation de republier la présente publication ou toute autre publication, veuillez communiquer avec Amrita Kochhar à kochhara@bennettjones.com. |