Se tenir au fait de la Convention : L’Ontario modernise son régime d’arbitrage commercial internationalUn nouveau régime législatif régissant l’arbitrage commercial international est entré en vigueur en Ontario en mars 2017, avec la Loi sur l’arbitrage commercial international, 2017, SO 2017, c 2, remplaçant la Loi sur l’arbitrage commercial international, RRP 1990, I.9 La Loi de 2017 devrait intéresser les praticiens et les entreprises. Il clarifie et harmonise le cadre législatif de l’Ontario pour l’arbitrage commercial international, garantissant ainsi que l’Ontario continue d’être un forum de règlement des différends attrayant et moderne. Alors que l’ancienne loi ne faisait qu’entériner les principes qui sous-tendent la Convention pour la reconnaissance et l’exécution des sentences arbitrales étrangères (la « Convention de New York »), la Loi de 2017 les adopte purement et simplement. La Convention de New York, qui est annexée en tant que annexe à la Loi de 2017, traite des sentences ou accords d’arbitrage étrangers dans le contexte des « relations juridiques commerciales ». Cela permet de dissiper l’incertitude persistante quant au statut des bourses de l’Ontario. Ceux qui tentent de confirmer une sentence arbitrale en vertu de la Convention de New York peuvent maintenant s’adresser à la Cour supérieure de justice. La Loi de 2017 résout également l’incertitude quant aux délais de prescription qui régissent les procédures d’exécution. La Loi de 2017 impose un délai de prescription clair de 10 ans. Ces changements devraient créer une certitude pour les parties en litige ayant des sentences arbitrales en main qui souhaitent accéder au système judiciaire de l’Ontario. De plus, la Loi de 2017 modifie la définition de convention d’arbitrage. Comme en vertu de l’ancienne loi, les conventions d’arbitrage doivent être écrites. Mais la Loi de 2017 prévoit qu'«une convention d’arbitrage est par écrit si son contenu est enregistré sous quelque forme que ce soit, que la convention d’arbitrage ou le contrat ait été conclu oralement, par un comportement ou par d’autres moyens ». Le but de ce changement était de suivre le rythme des façons modernes de faire des affaires. Les courriels peuvent être considérés comme une forme d’écriture en vertu de la Loi de 2017. Ce changement à la définition de l’écrit signifie qu’un plus large éventail d’accords devrait maintenant être reconnu. La Loi de 2017 communique que l’Ontario s’engage à attirer le commerce international et à se tenir au courant de l’évolution des pratiques commerciales et des normes internationales les plus élevées. Auteur(e)s
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