La Cour d’appel fédérale clarifie le critère du « contrôle de fait »Dans Le contrôle est un concept fondamental pertinent pour de nombreuses questions relatives à l’impôt des sociétés, aux particuliers et à la retenue à la source, notamment :
Le contrôle peut généralement être fondé soit sur la loi (contrôle de jure), soit sur les faits (contrôle de facto). Alors que le contrôle de jure est déterminé en fonction du droit de nommer la majorité du conseil d’administration d’une société et qu’il s’agit souvent d’une analyse relativement simple dans de nombreuses circonstances, le contrôle de fait (c.-à-d. le contrôle effectif en l’absence d’un contrôle de jure clair) peut être beaucoup plus difficile à évaluer dans la pratique. Des décisions judiciaires antérieures ont laissé entendre qu’un certain nombre de considérations factuelles ambiguës et subjectives relatives à la gestion, aux opérations et aux finances quotidiennes de la société peuvent être pertinentes pour déterminer le contrôle de fait. Dans de nombreux cas, cela peut entraîner un niveau d’incertitude inutile dans la compréhension des répercussions fiscales applicables et la planification d’opérations par ailleurs relativement simples. Dans l’affaire McGillivray, la CAF a confirmé qu’un critère beaucoup plus étroit et pratique doit être appliqué pour évaluer le contrôle de fait. À cet égard, les seuls facteurs pertinents sont ceux fondés sur un droit juridiquement exécutoire et la capacité d’apporter un changement au conseil d’administration ou à ses pouvoirs, ou d’exercer une influence sur l’actionnaire ou les actionnaires qui ont ce droit et cette capacité. En d’autres termes, le contrôle opérationnel factuel n’est pas pertinent en l’absence d’un droit d’entreprendre des actions qui relèvent par ailleurs de la compétence exclusive des actionnaires qui ont un contrôle légal (de jure) du conseil d’administration. Cette clarification simple et pratique élimine une grande partie de la confusion créée par la jurisprudence antérieure et devrait simplifier l’analyse du contrôle de facto dans de nombreuses situations courantes à l’avenir. Traduction alimentée par l’IA. Veuillez noter que cette publication présente un aperçu des tendances juridiques notables et des mises à jour connexes. Elle est fournie à titre informatif seulement et ne saurait remplacer un conseil juridique personnalisé. Si vous avez besoin de conseils adaptés à votre propre situation, veuillez communiquer avec l’un des auteurs pour savoir comment nous pouvons vous aider à gérer vos besoins juridiques. Pour obtenir l’autorisation de republier la présente publication ou toute autre publication, veuillez communiquer avec Amrita Kochhar à kochhara@bennettjones.com. |