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Projet d’agrandissement du réseau de Trans Mountain : La dernière demande de compétence de Burnaby a été rejetée

30 novembre 2015

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Écrit par Laura Gill, Mike Theroux and Aaron Rankin

La dernière tentative de la Ville de Burnaby pour faire valoir sa compétence à l’égard des travaux effectués à Burnaby dans le cadre du projet d’agrandissement du réseau de Trans Mountain a récemment été rejetée pour des raisons procédurales et constitutionnelles dans Burnaby (City) v Trans Mountain Pipeline ULC, 2015 BCSC 2140. Cet article fournit une mise à jour sur le litige, que nous avons déjà summarized all of it arising from the City’s enforcement of its bylaws in a manner impedeed work that the National Energy Board (NEB) had mandated Trans Mountain Pipeline ULC to do.

En 2013, Trans Mountain a demandé à l’ONE un certificat d’utilité publique pour le projet, qui comprend l’élargissement à quatre voies d’un pipeline existant et la construction connexe. En 2014, l’ONE a ordonné à Trans Mountain de terminer un certain nombre d’études d’ingénierie à Burnaby d’ici décembre de la même année. Lorsque Trans Mountain a commencé les travaux, la Ville a appliqué ses règlements administratifs sur la circulation et les parcs d’une manière qui « a tenté de contrecarrer ou de contrecarrer Trans Mountain dans la réalisation des études d’ingénierie » (para 24; toutes les citations sont tirées de la décision citée ci-dessus). Après que l’ONÉ a statué qu’en vertu de la Loi sur l’Office national de l’énergie (la LONE), Trans Mountain pouvait effectuer ses travaux à Burnaby sans le consentement de la Ville, la Ville n’a pas interjeté appel, mais a cité certains des travailleurs de Trans Mountain pour des infractions aux règlements municipaux.

Depuis ce temps:

Dans la récente décision, la Cour a rejeté la demande de déclarations déclaratoires de la Ville selon laquelle elle avait le pouvoir constitutionnel d’appliquer ses règlements administratifs malgré les décisions de l’ONE. La Cour a décliné compétence, estimant que c’était un abus de procédure de la part de la Ville d’avoir demandé une réparation qu’elle n’avait pas obtenue auprès de l’ONE et de la CAF. La Cour a ensuite examiné le fond des questions constitutionnelles (au cas où la décision en matière de compétence serait infirmée en appel), en arrivant aux mêmes conclusions que l’ONE. Les doctrines de la prépondérance fédérale et de l’exclusivité des compétences signifiaient que « les règlements administratifs de Burnaby ne peuvent s’appliquer de manière à entraver ou à bloquer l’emplacement du pipeline ou les études nécessaires pour déterminer son emplacement » (par. 75). De plus, la Cour suprême de la Colombie-Britannique a statué que [traduction] « [l]ors’un pipeline est situé, jusqu’au centimètre, est autant une question fédérale que les provinces qu’il traverse » (Ibid. La Ville a été condamnée à payer les frais juridiques de Trans Mountain et a announced qu’elle interjetera appel de la décision.

Si vous avez des questions sur ces problèmes et sur la façon dont ils peuvent affecter votre entreprise, veuillez contacter Mike Theroux, Laura Gill ou Aaron Rankin.

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