Faisons en sorte que la frontière fonctionne à nouveau

27 janvier 2009

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Écrit par Michael Kergin

Publié à l’origine dans l’Ottawa Citizen le 27 janvier 2009

La frontière internationale entre les États-Unis et le Canada Cette année, la Commission célèbre son centenaire. Pour au cours des 100 dernières années, la primaire de la commission la responsabilité a été de maintenir la « frontière » vista... entièrement exempt d’obstruction et en bonne et due forme l’état. Aujourd’hui, la frontière entre les États-Unis et le Canada est non plus longtemps dégagé et son état est moins que approprié.

Le président américain Barack Obama a indiqué il est clair que les infusions massives dans le national l’infrastructure sera un élément central de l' programme de relance de la nouvelle administration. Par conséquent, l’engagement canado-américain est devenu encore plus urgent et opportun.

Au cours des dernières années, notre frontière commune est devenue l’objet d’une attention sans précédent, et pas seulement du point de vue de la sécurité. Sans entrave l’accès pour le commerce bidirectional qui traverse la frontière; s’élevant à près d’un demi-billion de dollars par , demeure un impératif économique- pour les deux pays.

Environ 75 % des exportations canadiennes sont destinées à l' États-Unis tandis que des centaines de milliers de Canadiens les emplois dépendent de ces expéditions transfrontalières. Au sud de la frontière, 7,1 millions d’emplois aux États-Unis dépendent d’un commerce libre et ouvert avec le Canada. Le commerce canadien contribue également de manière importante au bien-être économique des États-Unis. Nous sommes de loin le le plus grand marché étranger pour les États-Unis, représentant plus d’un cinquième de toutes les exportations des États-Unis- plus que l’UE et la Chine réunies.

Le Canada et les États-Unis font des choses ensemble. Environ 70 % de nos échanges commerciaux sont à l’intérieur de l’industrie, tandis que près de 40 pour cent l’est intra-corporative. Cela est particulièrement vrai dans le cas de l' les industries de l’automobile et des pièces d’automobile. De plus, environ le tiers des exportations canadiennes vers l' Les États-Unis sont composés de marchandises qui ont été précédemment importé des États-Unis.

Donc, non seulement le Canada et les États-Unis doivent-ils le faire réaffirmer l’engagement des deux pays à l’égard de l' la sécurité de notre quartier commun, mais nous devons également examiner ce que sont les rénovations nécessaire pour moderniser notre frontière commune. Notre compétitivité à la maison et la capacité pour attirer l’investissement étranger dépend, dans les grandes mesure, sur les déplacements peu coûteux et efficaces sur le marché nord-américain.

Règlement sur les passeports et l’entrée, retards à la frontière, les exigences obligatoires en matière de déclaration des données sur le fret et les nouveaux frais d’inspection à la frontière ont introduit des coûts supplémentaires pour les particuliers et les entreprises des deux pays. Les 30- en pourcentage de la baisse du tourisme au Canada par l' Les États Unis ne peuvent pas être expliqués uniquement par l’augmentation correspondante--jusqu’à récemment--dans la valeur du dollar canadien. Et les retards à la frontière contribuent à de graves émissions la pollution à l’intérieure et autour des collectivités frontalières; et le long de nos autoroutes, à une époque où les deux pays cherchent activement à réduire les gaz à effet de serre.

Il est urgent que le leadership au Canada et le Les États-Unis forment de nouvelles institutions pour gérer améliorer notre frontière commune, rétablissant ainsi les avantages de l’avantage concurrentiel; économies d’échelle.

Trois piliers soutiennent les transactions transfrontalières impliquant des biens, des services ou des personnes : la sécurité, l’infrastructure de transport et l’intelligence l’application de la loi. Tous les trois peuvent être renforcés en créant une frontière plus intelligente entre Le Canada et les États-Unis et une frontière renforcée sur nos rivages.

Critique, cependant, à leur considération dans Washington est la façon dont l' Le gouvernement canadien engage l’Obama l’administration.

Après la chute de la France en juin 1940, le Nord L’Amérique était confrontée à une grave menace pour la sécurité d’Europe et d’Asie. Avec l’Ogdensburg Déclaration du 18 août 1940, Mackenzie King et Franklin Delano Roosevelt a créé le Conseil interarmées permanent de la défense (PJBD). Deux les conseillers, qui relèvent directement des dirigeants, étaient nommé coprésidents, présidant des forces armées et les fonctionnaires des affaires étrangères, « à considérer dans la sens large la défense de la moitié nord de l’hémisphère occidental.

Avec les risques pour nos deux pays découlant de le terrorisme, les substances illégales ou les produits dangereux, il est peut-être temps de se demander si nos dirigeants pourrait ne pas créer en collaboration un durable mécanisme pour faire face à cette nouvelle forme de l’instabilité internationale.

Quand le premier ministre Stephen Harper a sa rencontre avec le président Barack Obama, il pourrait proposer la création d’un Commission frontalière mixte permanente (PJBC), le long des lignes de la PJBD précédente. La PJBC, coprésidée par les membres du Cabinet qui relèvent de l' les chefs de gouvernement et les fonctionnaires inclus de la frontière concernée, de la sécurité, de l’étranger et les ministères économiques, recommanderaient les initiatives stratégiques frontalières, ainsi que la coordination la mise en œuvre de nouvelles mesures pour : rationaliser notre frontière commune.

En regardant vers l’avenir et en travaillant plus étroitement ensemble, le Canada et les États-Unis peuvent améliorer notre sécurité commune et construire un meilleur abri contre la tempête économique.

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