Reproduit avec la permission de l’éditeur de National Banking Law Review, Volume 27, Numéro 6, Décembre 2008.
La Cour suprême du Canada a envoyé un message à tous les sociétés de courtage en valeurs au Canada : procéder avec mise en garde lorsque vous demandez au conseiller en placement d’un concurrent (IA) pour traverser la rue. Dans sa décision rendue le Le 9 octobre 2008, la CSC détenait un ancien gestionnaire à RBC Dominion Securities' (RBCDS) personnellement responsable de près de 1,5 million de dollars en dommages-intérêts pour la coordination de rbcds' Les AI se joindront à leur concurrent Merrill Lynch. Dans ce qui devrait fournir aux sociétés de courtage ciblées un certain confort, l' a infirmé la plupart des conclusions de la Cour d’appel et a conclu que le directeur de la succursale avait violé son devoir de bonne foi en coordonnant le départ massif.
En novembre 2000, la quasi-totalité des AI du RBCDS à Cranbrook a traversé la rue pour rejoindre directement concurrent Merrill Lynch. Le déménagement a été coordonné par Don Delamont, directeur de succursale de RBCDS. Cohérent avec le désir de transférer rapidement les clients existants de RBCDS à Merrill Lynch, aucun des AI sortants ont donné un préavis de leur démission, tous les qui sont entrées en vigueur le même jour. En outre, avant à l’annonce coordonnée de leur démission, les AI sortants ont copié les dossiers des clients de RBCDS et a transféré ces documents à Merrill Lynch. Ces actions a paralysé la branche de Cranbrook de RBCDS, car seulement deux très les AI juniors sont restés.
Comme c’est généralement le cas au sein de l’industrie, aucun des AI sortants avaient des contrats les obligeant à fournir un préavis de résiliation. Il n’y avait pas non plus de restriction contractuelle les engagements (c.-à-d. la non-concurrence ou la non-sollicitation clauses). Néanmoins, le juge du procès a été offensé par la conduite et trouvé:
La Cour d’appel de la Colombie-Britannique a infirmé une décision importante des parties des conclusions du juge de première instance, soulignant l’absence des contrats écrits assortis de clauses restrictives. L' La Cour d’appel a statué ce qui suit :
La Cour suprême a rétabli la majorité du procès les conclusions du juge, y compris qu’il s’agissait d’un terme implicite de Le contrat de Delamont selon lequel il exercerait ses fonctions En toute bonne foi. Ces fonctions comprenaient le maintien des AI de la branche sous sa supervision. Dans l’organisation de la messe départ de RBCDS, Delamont a manqué à cette obligation. L' prix de près de 1,5 million de dollars contre Delamont personnellement est un facteur dissuasif important pour les cadres supérieurs ou les cadres supérieurs coordonner le départ des AI vers un concurrent.
Toutefois, la Cour suprême a donné raison à la Cour des Appel que les AI n’étaient pas liées par une obligation générale non de livrer une concurrence déloyale.
Indépendamment du fait qu’il n’y ait pas d’obligation générale de ne pas participer à la concurrence injustement, la décision de la Cour suprême est une bonne nouvelle pour toutes les sociétés de courtage parce qu’il confirme que les AI ont un obligation implicite :