Pratiquement aucun administrateur canadien n’a engagé de responsabilité exigeant le paiement de ses propres fonds, mais beaucoup ont été la cible de critiques cinglantes. C’est souvent le plus grand facteur de motivation pour les administrateurs – pas le risque de responsabilité, mais le risque de sembler avoir mal agi. Néanmoins, lorsque des problèmes surviennent, de nombreux administrateurs comptent sur la société pour fournir des conseils juridiques, même si un avocat indépendant peut être un meilleur choix. Publié dans le numéro de novembre 2011 du magazine Lexpert dans le cadre de la chronique régulière de Barry Reiter.