Grâce au succès, au cours des deux dernières décennies, d’un certain nombre d’entreprises technologiques canadiennes concurrentielles à l’échelle internationale, comme Research In Motion, RuggedCom et Sierra Wireless, pour n’en nommer que quelques-unes, le Canada jouit d’un écosystème technologique de classe mondiale qui comprend des entrepreneurs, des scientifiques, des ingénieurs, des cadres, des professionnels du capital de risque et des financiers expérimentés et hautement qualifiés. À moins que le gouvernement fédéral ne prend rapidement des mesures pour combler le manque de capital de risque, l’écosystème que nous avons soigneusement entretenu au cours des deux dernières décennies pourrait disparaître très rapidement et nous perdrons les professionnels du capital de risque, les entrepreneurs et d’autres personnes expérimentés qui sont nécessaires pour bâtir et développer des entreprises technologiques prospères. Il faudrait des générations pour se remettre de cette perte. Publié à l’origine dans le Globe and Mail, le texte intégral de cet article peut être lu en ligne à partir de le site Web du Globe and Mail.