Dominique Carli s’entretient avec Mergermarket sur les raisons pour lesquelles les négociateurs canadiens s’attendent à ce que l’élan positif de 2024 dans les fusions et réponses se poursuive en 2025. On s’attend à ce que l’élan se poursuive en raison de la baisse de l’inflation, de la stabilisation des taux d’intérêt et des importants excédents de trésorerie accumulés des sociétés et des sociétés de capital-investissement.
Dominique affirme que les sponsors financiers devraient continuer à jouer un rôle important dans la négociation, en se concentrant principalement sur les transactions sur le marché intermédiaire dans un contexte de pénurie de cibles plus larges. De plus, un grand nombre de sorties de sponsors ont été retardées en 2024 et devraient avoir lieu en 2025, ajoute-t-elle.
Quant à savoir si le président Trump va de l’avant ou non avec ses plans d’imposer des droits de douane dès le 1er février, Dominique dit que le temps nous le dira. Dans l’ensemble, un environnement plus favorable aux fusions est attendu sous une administration Trump.
Bennett Jones